Hongdou n'est pas celui qu'il aurait dû être, et il n'est pas non plus celui qu'on aurait voulu qu'il soit. Fils d'un héros de la guerre de Corée, il n'adhère à aucune des valeurs masculines qu'on prétend lui inculquer: Doux, sensible, passant sa vie à jouer du erhu et se comportant en fille manquée, il est la risée de ses camarades de classe et le modèle de toute bonne mère de famille.
Comme il n'est pas entré à l'université, il est envoyé sur le front lors du conflit sino-vietnamien de 1979. Cette expérience potentiellement héroïque de l'armée qui a tellement bien réussi à son père est pour lui un véritable cauchemar. Pris dans une guerre sanglante dans un jungle sans mercie, il sera finalement laissé pour mrt et ses restes seront redus à sa famille... Quelle qurprise lorsque Hongduo revient finalement de la guerre quelques temps plus tard... Mais il ne sera jamais plus le même: face à son impuissance à répondre au modèle qu'on lui impose, il tombe dans une folie qui le conduit à la mort.
Fini le suspense, dès les premières pages, on connait la fin tragique... la mort de Hongdou... C'est à travers les yeux d'un ami qu'on découvre ce destin manqué, celui d'un être inadapté à son monde, en complet desaccord avec le modèle traditionnel qui lui est imposé et qui va ne pas supporter l'horreur d'un guerre abomminable (même si on n'en a pas entendu beaucoup parler ici en Europe)
Certains semblent faire de ce livre un texte antimilitariste. Pour avoir lu le Voyage et Casse-pipe de Celine, on en est très loin... C'est un texte très fort où l'auteur prône le droit à la différence et le courage des gens qui osent mener leur vie dans un monde qui leur est totalement inadapté. C'est aussi une très belle histoire d'amitié. Une écriture simple, parfois très légère et délicate, parfois très dure, une écriture très asiatique... Un roman touchant et dur que j'ai beaucoup aimé...
Comme il n'est pas entré à l'université, il est envoyé sur le front lors du conflit sino-vietnamien de 1979. Cette expérience potentiellement héroïque de l'armée qui a tellement bien réussi à son père est pour lui un véritable cauchemar. Pris dans une guerre sanglante dans un jungle sans mercie, il sera finalement laissé pour mrt et ses restes seront redus à sa famille... Quelle qurprise lorsque Hongduo revient finalement de la guerre quelques temps plus tard... Mais il ne sera jamais plus le même: face à son impuissance à répondre au modèle qu'on lui impose, il tombe dans une folie qui le conduit à la mort.
Fini le suspense, dès les premières pages, on connait la fin tragique... la mort de Hongdou... C'est à travers les yeux d'un ami qu'on découvre ce destin manqué, celui d'un être inadapté à son monde, en complet desaccord avec le modèle traditionnel qui lui est imposé et qui va ne pas supporter l'horreur d'un guerre abomminable (même si on n'en a pas entendu beaucoup parler ici en Europe)
Certains semblent faire de ce livre un texte antimilitariste. Pour avoir lu le Voyage et Casse-pipe de Celine, on en est très loin... C'est un texte très fort où l'auteur prône le droit à la différence et le courage des gens qui osent mener leur vie dans un monde qui leur est totalement inadapté. C'est aussi une très belle histoire d'amitié. Une écriture simple, parfois très légère et délicate, parfois très dure, une écriture très asiatique... Un roman touchant et dur que j'ai beaucoup aimé...
2 commentaires:
Vous n'avez pas honte?? Je cherche des informations sur ce livre et partout, tous ces petits blogues "littéraires" reprennent le même format: on plagie la quatrième de couverture (et oui les amis, recopier en changent deux-trois mots c'est plagier) et on affirme aimer le roman. Non seulement ça, mais la MÊME "critique" est recopiée intégralement sur plusieurs blogues. Bravo pour cette perte phénoménale d'espace Web et ne vous attendez pas à trouver un job de critique littéraire.
Vous n'avez pas honte?? Notez bien le plagiat, il y a bien recopie des deux points d'interrogation. Insulter un blogueur, n'est-ce pas de la méchanceté pure et une bassesse indigne des pires veules couards?
Mais vous êtes vous réellement interrogé sur les raisons d'un blog? Notez, soit dit en passant votre indigence orthographique, lorsque l'on utilise un néologisme, il y a des règles à suivre, soit la conservation de l'orthographe, soit l'adoption des règles communément admises, surtout lorsque les grands dictionnaires français réprouvent la variante -gue pour des raisons d'homographie. Des erreurs répandues sur la toile, dans les journaux même les plus sérieux et réputés restent des fautes.
Je reprends donc le fil de mes idées: vous êtes vous réellement interrogé sur les raisons d'un blog, un espace personnel gratuit de communication? Le partage constructif et l'envie de faire découvrir des livres à des personnes qui suivent régulièrement mes lectures et mes expériences. Auriez-vous été réellement intéressé par quelque information sur ladite nouvelle que j'aurais volontiers répondu à toutes vos questions.
Me prendrais-je pour un critique littéraire? Non, ni professionnellement, car je pratique le métier bien plus passionnant et intellectuellement enrichissant d'architecte naval, ni en pure amateur, loin s'en faut.
Mais réfléchissez donc avant d'utiliser des mots trop lourds de sens. Réutiliser une quatrième de couverture pour décrire un livre et donner envie de le lire, le paraphraser pour y ajouter des idées qui semblent importantes, qui peuvent donner envie de lire ce roman, est-ce là du plagiat (ce mot ayant avant tout une valeur morale)?
De plus, si vous recherchez des informations sur un livre, somme toute très fin, lisez-le. Renseignez vous sur la guerre sino-vietnamienne et les événements qui se sont déroulés dans le Cao Bang et le Lang Son en 1979 et sur la société chinoise dan les années 70.
Mais s'il ne s'agissait que de la recherche du prochain livre à dévorer, vous l'auriez déjà lu, me trompé-je? A moins que les informations recherchées ne le soit uniquement pour faciliter la rédaction d'une production professionnelle, universitaire ou scolaire, auquel cas, qui serait le plagiaire?
Et finalement, lorsqu'on insulte, le bon usage veut que l'on laisse au moins son nom, voire même une adresse afin que la personne visée puisse répondre au soufflet...
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